Nous concevons des systèmes de production qui s’appuient sur les fonctionnalités offertes par les écosystèmes.

L’agroécologie pour nous est une façon de mettre sur pied des systèmes de production qui s’appuient sur les fonctionnalités offertes par les écosystèmes. Elle les amplifie tout en visant à diminuer les pressions sur l’environnement (ex : réduire les émissions de gaz à effet de serre, limiter le recours aux produits phytosanitaires) et à préserver les ressources naturelles. Il s’agit d’utiliser au maximum la nature comme facteur de production en maintenant ses capacités de renouvellement.

L’agriculture ou Culture du sol peut se définir comme l’ensemble des travaux et des aménagements des écosystèmes par lesquels les êtres humains transforment le milieu naturel pour la production d’aliments (végétaux et animaux) utiles à la société. Généralement, on distingue donc la culture (pour l'activité concernant le végétal) de l'élevage (pour l'activité concernant l'animal).

L’action de cultiver consiste à travailler la terre pour pouvoir produire, faire pousser des végétaux utiles aux besoins de l’homme.

A la FIPA nous pratiquons l’horticulture. C’est une branche de l’agriculture comprenant la culture des légumes, des fleurs, des arbres et des arbustes fruitiers et d’ornement.

Ainsi, nous disposons :

  • d’un espace pour le maraîchage sous serre et en plein air : production de légumes sélectionnés, de qualités, sains et respectueux de l’environnement (concombres, tomates, piments, etc …).
  • Des cultures saisonnières sont également effectuées sur le champ notamment pour nourrir les animaux (arachide, haricot, maïs, sorgho…).
  • d’un verger composé d’une variété d’arbres fruitiers (manguiers, citronniers lyme Thaiti, bananiers, avocatiers, papayers, passiflores …)
  • d’un potager en permaculture

 

Le principe de base de la permaculture est de s’inspirer de la nature pour les cultures. Ainsi, les espèces sont multiples, indigènes et peuvent interagir entre elles. Les insecticides et engrais chimiques sont proscrits et les surfaces sont optimisées ainsi que l’utilisation de l’eau et du soleil. L’idée étant de ne plus détruire les écosystèmes. À cela s’ajoute un autre avantage et pas des moindres, les jardins ou potagers en permaculture nécessitent moins d’entretien que les jardins traditionnels.

d’arbres et de fleurs diverses et variées : baobabs, jujubiers, acacia, moringa (nebeday), cocotiers, arbre voyageur, sapin, neem (margousier), nger, kinkéliba, arbre à soie (pommier de Sodome) flamboyants, bougainvilliers, frangipaniers, hibiscus, etc …

La présence d’animaux domestiques à la ferme est l’occasion d’une première approche avec le monde animal.

 

La FIPA dispose d’un cheptel composé de plusieurs animaux et oiseaux domestiques :

  • des moutons de race Ladoum,
  • des chèvres importées d’Afrique du sud : Saneen (chèvres laitières), et Boer (chèvres à viande),
  • des vaches laitières (Prim Holstein, Normande, Jersay) et deux vaches de race locale (Azawad, saharienne et Guzera),
  • de chevaux de race locale,
  • des ânes,
  • des pigeons,
  • des paons,
  • des dindes,
  • des poules locales et de race (Bleu d’Hollande et Cou-nu),
  • des pintades
  • des canards,

FIPA 2023 © Tout droit réservé. Conçu par ERANET INFORMATIQUE